Le colloque de l’APAD 2024, qui a eu lieu à l’Université de Liège, a proposé d’étudier les dynamiques du capitalisme, du développement et du changement social dans le Sud global à partir du prisme du travail. Cette entrée par le travail ouvre sur un large éventail de questions, qui touchent à la matérialité et aux techniques impliquées dans le travail ; à l’éthique et aux aspirations socioprofessionnelles ; aux arrangements familiaux liés au travail ; aux sociabilités dans et en dehors du travail ; aux carrières et aux trajectoires de mobilité sociale ; aux inégalités de genre, de classe, etc. qui structurent le marché du travail; aux formes de captation de la valeur et d’accumulation de capital ; ou encore aux politiques du travail et aux logiques de mobilisation et de représentation des travailleurs et travailleuses.
L’objectif de ce colloque était double. D’une part, il était de réfléchir à nouveaux frais, à partir d’une perspective centrée sur le travail, sur les thèmes qui ont été au cœur des travaux de l’APAD tels que le courtage, les arènes politiques, le fonctionnement des administrations, ou encore la mise en œuvre des politiques publiques. D’autre part, il était de proposer de nouvelles pistes pour penser le développement dans ses rapports avec l’économie politique et le changement social.
L’objectif de ce colloque était double. D’une part, il était de réfléchir à nouveaux frais, à partir d’une perspective centrée sur le travail, sur les thèmes qui ont été au cœur des travaux de l’APAD tels que le courtage, les arènes politiques, le fonctionnement des administrations, ou encore la mise en œuvre des politiques publiques. D’autre part, il était de proposer de nouvelles pistes pour penser le développement dans ses rapports avec l’économie politique et le changement social.