Association pour l’anthropologie du changement social et du développement
Association for the anthropology of social change and development

Présentation

La revue Anthropologie & développement est une revue à comité de lecture. Anthropologie & développement publie deux numéros par an, alternant dossiers thématiques et numéros de varia. Les dossiers thématiques sont consacrés à un thème spécifique faisant le point sur un domaine précis du champ du développement ou du changement social. Les propositions de dossiers thématiques à la rédaction sont les bienvenues. Les numéros de varias sont composés d’articles proposés par les auteurs, d’un maximum de 50 000 signes. Anthropologie & développement publie aussi des comptes-rendus de lecture, des recensions d’ouvrages, des résumés de thèse. Ces contributions peuvent être sollicitées par la Rédaction, mais elles peuvent aussi lui être proposées. Elles ne doivent pas dépasser 2 000 mots.

Depuis la création de l’APAD en 1991, le Bulletin de l’APAD, reconnu par l’AERES dans ses listes « anthropologie-ethnologie » depuis 2007, est devenu une référence en socio-anthropologie du développement. En 36 numéros, il a contribué à développer de nouvelles thématiques, ouvert ses pages à de jeunes chercheurs, contribué à décloisonner la réflexion entre chercheurs en sciences sociales et praticiens du développement. Ses articles sont largement utilisés en formation, tant en Afrique qu’en Europe.

A partir de 2013, le Bulletin de l’APAD est devenu Anthropologie & développement, la Revue de l’APAD. D’abord autoéditée par l’APAD, la revue est publiée depuis 2019 par les Presses Universitaires de Louvain.

Anthropologie & développement est une revue bilingue à comité de lecture, indexée par ERIH PLUS et JournalBase (CNRS) (le HCERES ne publie plus de liste en sciences sociales). Elle a un focus sur l’Afrique subsaharienne, mais les articles portant sur les politiques et pratiques de développement peuvent porter sur toute aire culturelle.

Anthropologie & développement est diffusée aux adhérents et vendue en ligne (ici jusqu’au n°48-49 et ici à partir du n°50). Les articles publiés dans la revue sont disponibles gratuitement après six mois sur le site dédié http://anthropodev.revues.org/?lang=fr de Revues.org, l’une des plateforme du portail OpenEdition dédié aux ressources électroniques en sciences humaines et sociales. Les articles publiés dans le Bulletin de l’APAD restent disponibles sur https://apad.revues.org/?lang=fr.

En 2017, sur OpenEdition, le Bulletin de l’APAD et Anthropologie & développement ont reçu ensemble 174 000 visiteurs uniques, 240 000 visites avec 409 000 pages vues. Pour sa première année en ligne, Anthropologie & développement a reçu en 2017 près de 30 000 visiteurs uniques. Voir Statistiques de consultation de la revue sur open.

En  2021, Anthropologie & développement a reçu plus de 50 000 visiteurs uniques, avec 145 000 pages vues. Avec le Bulletin, ce sont 200 000 visiteurs uniques et plus de 600 000 pages vues.

Contact : revue@apad-association.org

Sylvie Ayimpam
(IMAF, Aix-en-Provence, France)
Thomas Bierschenk
(Université Mainz, Allemagne)
Giorgio Blundo
(EHESS, Marseille, France)
Jacky Bouju
(AMU, CEMAF, Aix-en-Provence, France)
Laurence Boutinot
(CIRAD, Montpellier, France)
Mirjam de Bruijn
(ASC, Leiden, Pays-Bas)
Ann Cassiman
(Faculty of Social Sciences, Leuven, Belgique)
Jean-Pierre Chauveau
(IRD, Montpellier, France)
Jean Copans
(Université Paris Descartes, Paris, France)
Abdou Salam Fall
(IFAN, Université Cheick-Anta Diop, Dakar, Sénégal)
Marion Fresia
(Institut d’ethnologie, Neuchâtel, Suisse)
Sten Hagberg
(Université d’Uppsala, Uppsala, Suède)
Oumarou Hamani
(LASDEL, Niamey, Niger)
Jean-Pierre Jacob
(IHEID, Genève, Suisse)
Ludovic Kibora
(CNRST, INSS, Ouagadougou, Burkina Faso)
Eric Komlavi Hahonou
(Roskilde University, Danemark)
Pierre Joseph Laurent
(UCL, Louvain-la-Neuve, Belgique)
Philippe Lavigne Delville
(IRD, UMR GRED, Montpellier, France)
Pierre-Yves Le Meur
(IRD, UMR GRED, Montpellier, France)
David Lewis
(London School of Economics, Londres, Grande-Bretagne)
Christian Lund
(Copenhagen University, Danemark)
Pascale Moity-Maïzi
(SUPAGRO, Montpellier, France)
Roch Mongbo
(Université Abomey-Calavi & LADYD, Bénin)
Tania Murray Li
(University of Toronto, Canada)
Jean-Pierre Olivier de Sardan
(LASDEL, Niamey, Niger)
Fatoumata Ouattara
(IRD, UMR LPED, Marseille, France)
Maud Saint Lary
(IMAF, Paris, France)
Mahaman Tidjani Alou
(LASDEL, Niamey, Niger)

Sophie Andreetta

Sylvie Ayimpam

Thomas Bierschenk

Jacky Bouju

Laurence Boutinot

Magali Chelpi-den Hamer

Marie Deridder

Nehara Feldman

Pauline Jarroux

Eric Komlavi Hahonou

Cristiano Lanzano

Jacinthe Mazzocchetti

Léo Montaz

Emmanuelle Piccoli

Jessica Pourraz

Maud Saint-Lary

Alexis Roy

Dernier appel à contribution

Genre et développement : un terrain contesté

Appel à contributions pour Anthropologie & développement n°55/ 2024 Coordinatrices: Anneke Newman (UGent), Elena Aoun (UCLouvain), Alena Sander (UCLouvain) Télécharger l'appel à contributions  Ce numéro spécial d'Anthropologie &développement invite les...

Contribuer à la revue

Les propositions d’articles sont à envoyer à revue@apad-association.org. Elles sont reçues par le comité de rédaction, qui statue sur leur pertinence par rapport au champ de la revue, et fait une première évaluation de leur qualité, avant de décider de les transmettre pour relecture ou de les refuser.

Les propositions d’articles sont soumises de façon anonyme à deux relecteurs, choisis en fonction du sujet de l’article et de son champ géographique, et dont l’un au moins est membre du comité de lecture. Les relecteurs transmettent leur avis, sur l’intérêt et la qualité de l’article, et sur la possibilité de le publier dans la revue.

Pour un dossier thématique, la proposition est soumise au comité de rédaction. Après approbation et intégration dans la programmation, l’appel à articles est diffusé par l’APAD et par les porteurs du dossier. Les résumés sont sélectionnés conjointement. Les articles sont ensuite soumis de façon anonyme à deux relecteurs, choisis par les porteurs du dossier et le comité de rédaction, en fonction du sujet de l’article et de son champ géographique. L’un des relecteurs est membre du comité de lecture.

L’évaluation des articles peut conduire à quatre réponses :

  • Accepté
  • Accepté sous réserve de modifications
  • Proposition de modifications importantes sans garantie de publication
  • Refusé

L’auteur recevra l’avis sur l’évaluation de son texte dans un délai de 3 mois suivant sa proposition à la Revue de l’APAD. Dans le cas où l’article est publiable moyennant reprises, ou refusé, ils fournissent une analyse du texte à destination de l’auteur. Ces commentaires sont transmis de façon anonyme à l’auteur. La seconde version est revue par les relecteurs avant acceptation finale.

Note aux auteurs PDF

L’APAD et Afrique contemporaine vous proposent quelques conseils pour écrire et être publié dans les revues internationales

L’APAD est particulièrement vigilante aux questions de déontologie et de prévention du plagiat. De ce fait, l’association adhère au Code de conduite du COPE (Committee On Publication Ethics), téléchargeable en cliquant sur ce lien.

Le plagiat consiste à copier ou très fortement s’inspirer des écrits d’un auteur sans le citer. Il s’agit d’une faute morale et professionnelle grave. En France, le plagiaire peut être condamné par la justice et lourdement sanctionné par l’institution à laquelle il appartient. En cas de plagiat avéré dans un article qui lui est soumis, l’APAD se réserve le droit de refuser l’article et d’en informer l’institution à laquelle appartient l’auteur.

Anthropologie & développement publie des articles scientifiques originaux, des compte-rendus de lecture, des comptes-rendus de thèse.

Articles originaux

Pour les articles originaux, les textes au format du logiciel Word ou Opendocument ne doivent pas excéder 50 000 signes (notes, bibliographie et espaces compris). Le texte initial doit être saisi « au kilomètre » (sans tabulations et sans feuille de style) dans la police Times New Roman de taille 12.

Le paragraphe « normal » est à interligne simple, espaces avant et après de 6 points (pas de saut de paragraphe pour séparer deux paragraphes). La version finale doit être mise en forme selon le modèle de la revue (envoyé aux auteurs après acceptation du texte).

Il appartient à l’auteur de s’assurer de la qualité de la langue dans laquelle est écrit le texte, en s’adressant le cas échéant à un professionnel de la traduction.

Le texte inclut :

  • un titre et éventuellement un sous-titre ;
  • le prénom et le nom de l’auteur. L’affiliation institutionnelle et l’adresse électronique sont en fin d’article ;
  • un résumé en français et en anglais (200 mots) ;
  • 5 mots clef ;
  • les notes de bas de page numérotées de 1 à 20 (maximum) ;
  • les citations dans le corps du texte (au dessus de 2 lignes, les citations sont à mettre dans un paragraphe séparé) ;
  • les éventuels schémas, cartes, à intégrer dans une zone de texte et non directement dans le texte ;
  • la hiérarchie des titres (2 niveaux de titres maximum dans le texte). Les titres, sous-titres, titres de sections et sous-sections doivent être courts et explicatifs ;
  • une bibliographie mentionnant tous les auteurs cités dans le texte ;
  • les renvois à la bibliographie se font dans le texte, et non dans les notes de bas de page, réservées aux commentaires ;
  • la référence sera présentée dans le corps du texte sous la forme : (Dupont, 1960 : 20) ; (Dupont et Dupond, 2000 ; Durand, 2014) ;
  • Les noms des auteurs doivent être écrits en lettres minuscules ;
  • Les écrits d’un même auteur parus la même année seront distingués par des lettres minuscules (1977a, 1977b) ;
  • La bibliographie est présentée à la fin du texte par ordre alphabétique de noms d’auteur.

Les règles de présentation de la bibliographie sont illustrées dans les exemples ci-dessous :

Pour les ouvrages et documents de travail publiés :

Kourouma A., 1968, Les soleils des indépendances, Paris, Éditions du Seuil.
Whitfield L. et Maipose G., 2008, Gérer la dépendance : les causes de la faible « appropriation » dans les pays africains et les stratégies pour en sortir, Global Economic Governance Programme, note d’analyse n°34, Oxford, Oxford University, 8p.

Pour les articles publiés dans une revue ou un journal :

Althabe G., 1990, « Ethnologie du contemporain et enquête de terrain », Terrain, 14 : 126-131.

Pour les mémoires, thèses, rapports :

Blanchet X., 1999, « La sensibilité des catégories affectives chez les pygmées », thèse de doctorat nouveau régime sous la direction de Jean Dupont, EHESS, Marseille, 452 pp.
Dupont X, 2014, « Evaluation ex-post du projet d’appui aux acteurs locaux », Cotonou, Ministère de la santé publique/Cabinet Experts associés, 39 p.

Pour les articles publiés dans un ouvrage collectif :

Beneduce R., Salamanta O. et Fiore B., 1990, « L’épilepsie en pays dogon. Une perspective anthropologique et médicale », in Coppo P. et Keita A. (éds.), Médecine traditionnelle. Acteurs,
itinéraires thérapeutiques, Trieste, Edizioni E : 195-238.
Bonte P., 1991, « Valeur » in Bonte P. et Izard M. (éds.), Dictionnaire de l’ethnologie et de l’anthropologie, Paris, PUF : 733‐735.

Pour les textes non publiés : auteur, année, titre du texte, lieu de rédaction, institution, multigr.

Schwartz A., (janvier) 1993, « L’adhésion des paysans à la culture du coton au Burkina Faso. Des comportements contrastés », Bondy, ORSTOM, multigr.
Cheron G., 1948, « Quatre épisodes de l’histoire de la Haute-Volta : le siège de Bama, le royaume tiéfo, la prise de Bobo-Dioulasso, l’activité politique de la princesse Guimbi », Paris, multigr.

Autres publications

Les comptes-rendus de lecture et les recensions d’ouvrages font un maximum de 2000 mots.

Pour les comptes-rendus de thèses, les consignes sont les suivantes :

Les références de la thèse doivent être indiquées comme suit : prénoms et noms de l’auteur, date, titre et sous-titre de la thèse, école doctorale (s’il y a lieu), institution de rattachement, nombre de pages, mots-clés (5 au maximum) ; adresse courriel de l’auteur de la thèse ; lien avec le site internet où la thèse peut être téléchargée (le cas échéant).

La Revue entend par compte-rendu de thèse un résumé critique qui entre en matière et discute le contenu du travail. Pour publier un compte-rendu de sa thèse dans la revue Anthropologie & développement, l’auteur de la thèse soutenue avec succès a deux possibilités :

  • soit il demande à un membre de son jury de thèse de bien vouloir soumettre un compte-rendu de son travail à la revue ;
  • soit il entreprend ce travail lui-même.

La longueur du compte-rendu de thèse doit être comprise entre une et deux pages (entre 2000 et 5000 signes). Les simples résumés de quelques lignes ne sont pas admis. Comme pour les articles proposés pour publication, le Comité de rédaction se réserve le droit d’accepter ou de refuser la publication d’un compte-rendu.

Le texte doit être saisi au kilomètre sans tabulation ni feuille de style en Times New Roman taille 12.