Association pour l’anthropologie du changement social et du développement
Association for the anthropology of social change and development
Une réunion de présentation de l’APAD à l’Université de Lubumbashi

Une réunion de présentation de l’APAD à l’Université de Lubumbashi

Le 19 juillet 2016, Sylvie Ayimpam, Secrétaire générale adjointe, a tenu une réunion de présentation de l’APAD à l’Université de Lubumbashi. L’association est très peu connue dans cette université située dans le sud-est du Congo, dans la région minière du Katanga. Une trentaine de personnes, enseignants et étudiants, y ont participé et ont suivi la présentation axée sur le thème « L’APAD, 25 ans après ». La discussion qui a suivi cette présentation a été très animée. Une douzaine de collègues ont pris leur adhésion à la fin de la réunion, et un pôle APAD vient de voir le jour au sein de cette université. Il est animé par le professeur Gilbert Malemba, secondé par le professeur Olivier Kahola.

Un atelier de formation à l’écriture scientifique

Un atelier de formation à l’écriture scientifique

Comment fonctionne une rédaction dans une revue internationale de sciences sociales ? Quels sont les critères de recevabilité des articles ? Pourquoi les chercheurs africains ont-ils tant de difficulté à publier dans ces revues ?

Dans la suite du 12° colloque de l’APAD, qui s’est tenu en novembre dernier sur le thème de « la fabrique de l’action publique », l’APAD et le LADYD ont organisé à Cotonou (Bénin) un atelier d’écriture scientifique en sciences sociales, du 26 au 29 septembre 2016, en collaboration avec la revue Afrique Contemporaine. 15 jeunes chercheurs et doctorants, du Bénin, du Sénégal et du Burkina Faso, ayant proposé une communication au colloque APAD y ont participé, pour quatre jours d’échanges intensifs et de discussion sur leurs textes.

Entre méconnaissance des règles du jeu de la publication académique, et absence de formation à l’écriture, les jeunes chercheurs africains sont particulièrement peu préparés à publier dans des revues internationales. Les participants ont pu comprendre les sources des difficultés, voire des échecs, qu’ils ont rencontrés et reprendre confiance dans leur capacité à restituer leurs travaux et à les publier. Gageons que la nouvelle version de leur texte sera fortement améliorée !