Association pour l’anthropologie du changement social et du développement
Association for the anthropology of social change and development
Assemblée générale du 19 novembre 2015 : un nouveau bureau

Assemblée générale du 19 novembre 2015 : un nouveau bureau

L’Assemblée générale du 19 octobre 2015 a élu un nouveau bureau de 17 membres.

Barbara Bentz (consultante, France), Dieudonné Gratien Eclou (FSA/UAC, Abomey-Calavi, Bénin), Sarah Fichtner (Freie Universität, Berlin, Allemagne/LAM Bordeaux, France), Eric Hahonou (Univ Roskilde, Danemark), Seydou Keita (CNRST, Bamako, Mali), Gabriella Körling (Stockholm Universitat, Suède), et Oumy Thiongane (IRD/CIRAD, Montpellier, France) nous rejoignent.

L’APAD remercie Sten Hagberg et Maud Saint-Lary, qui n’ont pas souhaité se représenter après de nombreuses années d’engagement dans notre association.

L’APAD élargit son champ géographique

L’APAD élargit son champ géographique

Lors de son Assemblée générale du 19 novembre 2015, à Cotonou, l’APAD a décidé de changer son nom en « association pour l’anthropologie du changement social et du développement », supprimant la mention « euro-africaine ». Celle-ci marquait à la naissance de l’APAD la volonté d’être une association rassemblant à la fois les chercheurs européens et africains. Cette ambition est clairement réalisée : plus de 40% des membres de l’APAD ont leur adresse postale en Afrique (sans compter les chercheurs ou doctorants africains basés en Europe). Mais d’un point de vue scientifique, ce marquage géographique n’a pas de sens. Il est un frein à l’adhésion de personnes travaillant sur ces mêmes questions, dans d’autres régions du monde. La comparaison internationale sur les liens entre interventions de développement, effets de l’aide, changement social, permet aussi de « désexotiser » les analyses menées en Afrique, en mettant en évidence que des processus similaires se rencontrent ailleurs.