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LE CAPITALISME, LES ENTREPRENEURS ET
LES ASSOCIATIONS D’ENTREPRENEURS AU TRAVAIL :
NOUVELLES ETHNOGRAPHIES DES
DYNAMIQUES DU SECTEUR PRIVÉ EN AFRIQUE
Appel à contributions pour un numéro thématique de la revue ‘Anthropologie
et Développement’, coordonné par Thomas Bierschenk et José María Muñoz, à
paraître en 2021.
Ce numéro souhaite explorer de manière ethnographique et analytique les
liens entre le capitalisme émergent (ou non), les activités du secteur privé,
les entrepreneurs (dans un sens économique) et leurs associations, l’État et
les agences de développement en Afrique.
Le récent renouveau du concept de capitalisme en sciences sociales n’a eu
jusqu’à présent qu’un impact limité sur les études africaines, dominées ces
dernières décennies par d’autres lectures principalement orientées par le
prisme de la “bonne gouvernance”. À l’arrière-plan de cet intérêt
renouvelé pour le concept de capitalisme, on trouve de vieilles questions sur
les conditions du “rattrapage” économique des pays africains. Toutefois,
les contributions empiriques ayant placé le concept de capitalisme au cœur de
leurs ambitions théoriques sont jusqu’ici restées assez rares.
L’intérêt nouveau des chercheurs pour le capitalisme comme grille d’analyse
du développement économique est lié aux transformations des paradigmes “pratiques”
du développement. Au cours des dernières décennies, les politiques de
développement ont en effet largement mis l’accent sur la réforme des
institutions publiques, complétée par la suite par la promotion explicite du
secteur privé. Le développement du secteur privé (DSP) est devenu à la fois un
domaine distinct des politiques de développement, coordonné de manière plus ou
moins effective au sein du Comité des donateurs pour le développement de
l’entreprise (Donor Committee on
Enterprise Development (DCED), et un topos réinvesti par la recherche
économique du développement. En tant que paradigme, le DSP couvre non seulement
la promotion des petites et moyennes entreprises, mais aussi des programmes
très controversés tels que la réforme du climat d’investissement ou la réforme
de l’environnement des entreprises, et notamment l’initiative Doing Business de la Banque mondiale
(2004). En conséquence, de nombreuses ONG se sont parfois inscrites, souvent à
contrecœur, dans des programmes de promotion de l’entrepreneuriat et du
capitalisme à petite échelle, et ce dans divers contextes.
Le paradigme du développement du secteur privé, ainsi que les programmes
spécifiques qui y sont associés, présentent néanmoins un angle mort pour le
moins singulier : dans quelle mesure les programmes de développement du
secteur privé ont-ils réellement porté leurs fruits ? Quelle est la nature
des entreprises émergentes et quelle place occupent-elles dans la structure
sociale de leurs pays respectifs ? Le secteur privé peut être marginal ou
important, autochtone ou dépendant de l’extérieur, replié sur soi ou
extraverti, dominé par de grandes entreprises ou constitué d’une myriade de
petites entreprises familiales. Sur le plan empirique, la plupart des réponses
à ces questions sont restées remarquablement nébuleuses. Ceci est d’autant plus
étonnant que le programme Doing Business,
par exemple, a généré une véritable concurrence, en particulier entre les
pays du Sud, ce qui a permis de simplifier et de limiter la réglementation des
entreprises. Si les débats sont vifs autour du sens et des soubassements idéologiques
de ce programme, ils laissent de côté l’analyse des types de business qui auraient fait leur chemin
de Singapour à Maurice ou au Rwanda à la suite de réformes inspirées par le
programme Doing Business, et ce que
cela dit de leur constitution sociale globale.
La question du capitalisme telle qu’elle est posée dans les sciences
sociales et le paradigme politique du développement du secteur privé se rejoignent,
enfin, dans des lectures du continent africain comme dernière frontière du
capitalisme. Cette perspective est largement représentée dans le journalisme
économique ; la couverture de The Economist Africa
Rising (3.12.2011) est ainsi devenue emblématique de cette position. Formulée
à l’origine par des consultants tels que McKinsey, qui parlait de “lions
en mouvement” par analogie avec le développement capitaliste de rattrapage
en Asie (Roxburgh et al, 2010), la thèse de l’Africa
Rising – et ses partisans – s’intéressent
toutefois moins au développement économique au sens large des pays africains. Dominée
par une perspective d’investisseurs et d’études de marché, l’Afrique y est
plutôt présentée comme un continent où les investisseurs (étrangers) peuvent gagner
beaucoup d’argent, en relation avec la montée supposée des “classes
moyennes” africaines.
Dans ce contexte, les entrepreneurs africains ont été célébrés ces
dernières années comme étant à l’avant-garde du développement économique et
social en Afrique. L’un des plus éminents d’entre eux, Tony Elumelu, a
récemment proclamé lors de son Forum annuel sur l’entrepreneuriat que
“l’Africapitalisme prend le devant de la scène[1]“. D’autres
entrepreneurs importants comme Yves Kabongo y ont également participé et se
sont déclarés “africapitalistes” radicaux[2].
En fait, l’existence d’entrepreneurs ou d’entreprises ayant des droits de
propriété privée peut être considérée comme une caractéristique essentielle, mais
non suffisante, du capitalisme. Une notion ‘schumpétérien’ ” de ‘l’entreprenariat’
a longtemps encadré les perspectives sur les trajectoires des entreprises ainsi
que des hommes et femmes d’affaires sur le continent africain. Les inquiétudes
concernant le besoin d’entrepreneurs en Afrique semblent aujourd’hui aussi pertinentes
qu’à la fin des années 80, lorsque dans l’un des documents de politique
générale qui ont suivi une décennie d’ajustement structurel, la Banque mondiale
(1989) soulignait le rôle clé des entrepreneurs dans l’avenir économique du
continent. Malgré des changements significatifs dans les approches politiques
et les tendances économiques au cours des trois dernières décennies, les appels
à encourager les énergies entrepreneuriales sur le continent ont persisté,
bientôt teintés d’un sentiment d’urgence renouvelé à la lumière du chômage
massif des jeunes (Dolan et Rajak 2016). La figure héroïque de l’entrepreneur
projette également son ombre sur de nombreuses recherches académiques qui abordent
les perspectives du capitalisme en Afrique (Amaeshi et Idemudia 2015 ;
Akinyoade, Dietz et Uche 2017). Ces travaux tendent ainsi à privilégier ce qui
est considéré comme productif, industriel, innovateur et national au détriment
de ce qui est caractérisé comme rentier, commercial, commun et étranger. Malgré
ses effets substantiels sur l’élaboration des politiques et les représentations
populaires, la notion d’entrepreneuriat prend parfois la forme d’une camisole
de force, empêchant de rendre justice aux complexités qui façonnent les
trajectoires des entreprises et des hommes d’affaires. Le risque est de se
contenter d’un compte rendu appauvri des “héritages, logiques et
logistiques” (Guyer 2016) qui façonnent les activités commerciales. Par
conséquent, nous invitons les contributeurs à adopter une lecture globale de la
complexité des trajectoires des entreprises, tout en les réinscrivant dans
leurs contextes spatio-temporels spécifiques.
L’époque où il était nécessaire de “désacraliser” les grandes entreprises
commerciales pour les traiter comme des objets ordinaires d’étude
anthropologique (Althabe 1991) est révolue depuis longtemps. Les grandes entreprises
sont devenues un lieu d’attention ethnographique bien établi, et ce, dans un
large éventail de milieux (Welker, Partridge et Hardin 2011). C’est peut-être
moins le cas pour le continent africain, où les études sur les trajectoires et
les pratiques des entreprises se sont largement limitées aux secteurs comptant
une présence importante d’acteurs multinationaux, tels que les industries
extractives (dont deux monographies récentes dignes d’être mentionnées :
Rajak 2011 et Rubbers 2013). Cette situation résulte d’une variété de facteurs,
parmi lesquels le nombre relativement faible de grandes entreprises formalisées
dans la plupart des pays africains est peut-être le plus évident. En effet,
l’informalisation des activités économiques a constitué un fil conducteur des
anthropologies africanistes, interprétée à la fois dans sa longue durée, et
comme un effet des tendances économiques mondiales et des paradigmes politiques
promus depuis les années 1970. À cet égard, il n’est guère surprenant que le
corpus anthropologique sur les réseaux et les hommes et femmes d’affaires soit
plus riche que celui sur les entreprises, comme le montrent les travaux
présentés dans les contributions visant à dresser un état de l’art de la
question au début des années 1990 (Labazée 1991 ; Copans 1991 ; voir aussi le
poids des anthropologues parmi les intervenants d’une synthèse interdisciplinaire
importante de cette période : Ellis et Fauré 1995). Cette lignée intellectuelle
se perpétue dans les recherches ethnographiques récentes : deux
monographies apparaissent à cet égard comme exemplaires dans l’effort qu’elles
déploient dans la reconstruction des choses, des personnes, des réseaux et des
entreprises qui font des produits pharmaceutiques au Nigeria (Peterson 2014) et
des pagnes au Togo (Sylvanus 2016) ce qu’ils sont.
Cette focalisation empirique sur les entrepreneurs met en lumière la
question de la classe sociale dans un sens plus large. Ce numéro ne vise pas
seulement à étudier empiriquement des entrepreneurs, mais aussi à contribuer à la
question de savoir s’ils représentent une classe “pour soi”, qui a
conscience de ses propres intérêts politiques et économiques (cette question
peut par exemple être creusée au travers d’une focalisation empirique sur les
associations d’entrepreneurs). Elle se rattache plus largement aux débats de
longue date sur l’émergence d’une classe indigène de capitalistes en Afrique et
aux questions connexes qui leur sont liées, comme celle de savoir si cette
classe a conscience de sa propre existence et si elle poursuit activement ses
intérêts. Dans les années 1980, ces questions ont joué un rôle central dans le
très polarisé “débat kenyan” relatif aux conditions du développement
économique et à la position de classe des entrepreneurs africains (Leys 1975,
Beckmann 1980, Kitching 1985). En empruntant ainsi à l’ancien vocabulaire marxiste,
il ne s’agit pas seulement de se demander combien de “classe est dans les
entrepreneurs”, mais aussi si cette classe devient, au moins à certains
endroits, une “classe à part entière” (Lukács 1923/1972 ; Badou et
Bierschenk 2019).
Les communications pourront porter sur les axes thématiques suivants, en
incluant éventuellement des aspects plus méthodologiques relatifs aux “défis”
d’une enquête ethnographique dans ces domaines :
a) Les relations entre les entreprises et les États et les associations
d’entreprises : Nous nous intéressons aux analyses qui font le point sur les
contributions produites dans le contexte du “débat kenyan” et sur les
contributions ultérieures (MacGaffey 1987 ; Boone 1992 ; Forrest 1994 ; Muñoz
2018), et qui vont au-delà des lectures grossières en termes de domination ou
d’impuissance des entreprises. Bien que la thèse selon laquelle les entreprises
jouissent d’un intérêt privilégié dans les sociétés capitalistes demeure un
point de départ des plus raisonnables, il est également évident que l’influence
des entreprises varie en fonction du contexte. Tant ce que les politologues
marxistes appelaient le pouvoir structurel de l’entreprise (en tant
qu’investisseur, contribuable et employeur) que son influence instrumentale
doivent être documentés plutôt que pris pour acquis. Les possibilités d’action
politique des entreprises (allant de la candidature à un poste politique, au
financement de partis politiques et à la création de groupes de réflexion ou
d’instituts de recherche chargés d’établir des programmes, à l’investissement
dans des associations commerciales, à l’entretien de liens personnels avec des
responsables gouvernementaux et, plus directement, à l’achat d’influence) ne
devraient pas être exclues du champ des recherches ethnographiques. Ainsi que
l’a montré Hibou (2006) pour le cas de la Tunisie sous Ben Ali, les analyses
des relations entre les entreprises et l’État s’égarent souvent dans des récits
stéréotypés d’acteurs économiques qui tantôt minimisent leur visibilité
pour se protéger des ingérences politiques, tantôt sont contraints de soutenir
le régime pour éviter le harcèlement ou l’exclusion.
b) L’expansion du développement du secteur privé (DSP) en tant que domaine
de l’aide au développement et de politique gouvernementale justifie également de
nouvelles recherches. La promotion de l’entrepreneuriat par la formation et le
soutien technique et financier a été au centre de contributions ethnographiques
bien connues (Elyachar 2005), mais ces programmes ne représentent qu’une petite
composante d’un champ d’intervention beaucoup plus vaste. Les efforts déployés
par les bailleurs de fonds multilatéraux et bilatéraux pour préconiser des
“réformes de l’environnement des entreprises” ou pour restructurer
des secteurs économiques spécifiques – souvent au moyen de la création ou du
renforcement d’associations d’entreprises – ou l’évolution des dispositions
relatives aux forums périodiques entre les gouvernements et le secteur privé
offrent des possibilités de recherche ethnographique novatrice.
c) L’attention portée à l’environnement bâti, à la technologie, au
répertoire et au rendement peut aider à comprendre l’évolution des pratiques
commerciales dans divers domaines, notamment la gestion de la main-d’œuvre, les
relations avec les fournisseurs et les clients, le financement, la comptabilité
et la fiscalité. Malgré la bureaucratisation surtout des moyens et grands
entreprises dans la plupart des pays d’Afrique, il reste beaucoup à apprendre
sur le fonctionnement quotidien de ces bureaucraties d’affaires. Comme
l’indique la référence du titre de l’appel aux acteurs de l’entreprise “au
travail”, les tensions entre normes et pratiques qui ont été explorées
dans la recherche sur l’État en Afrique et le fonctionnement quotidien des bureaucraties
(Bierschenk et Olivier de Sardan, 2014) sont particulièrement intéressantes.
d) Les trajectoires et les cycles économiques constituent un autre domaine
d’intérêt important, lié à des préoccupations de longue date relatives
notamment aux pressions sociales contre l’accumulation privée ou aux mécanismes
d’application des obligations légales et contractuelles. Le récent intérêt de
politistes et anthropologues pour la “réussite” (Rowlands 1994 ; Banégas
et Warnier 2001 ; Newell 2012) offre de nouvelles orientations prometteuses
pour la recherche sur les identités des entreprises, y compris leur dimension
de classe. Plus généralement, nous invitons les contributions qui explorent les
débuts et les fins des entreprises commerciales, la spécialisation et la
diversification, l’expansion et le déclin, le succès et l’échec dans des
contextes africains dans lesquels les conditions technologiques, juridiques et
politiques changent constamment.
Calendrier :
Les propositions d’articles sont à soumettre au
plus tard le 2 janvier 2020 à Thomas
Bierschenk (biersche@uni-mainz.de) et José Maria Muñoz (jmunoz@ed.ac.uk), ainsi
qu’à la rédaction de la revue (revue@apad-association.org).
Les propositions d’articles, d’environ 5.000
signes (espaces compris), peuvent être rédigées en français ou en anglais.
La proposition doit comprendre :
– un titre
– un résumé détaillant le thème et la
problématique de recherche, ainsi que les matériaux sur lesquels repose
l’article.
– des références bibliographiques (hors du
décompte des signes).
Chaque proposition doit inclure les noms et
prénoms des auteurs, leur statut et leur rattachement institutionnel, ainsi que
leur adresse électronique.
16
janvier 2020: Les auteurs seront
avertis des contributions présélectionnées par les coordinateurs et le comité
de rédaction de la revue.
1 mai
2020 : Soumission des premières
versions des articles, en français ou en anglais, qui devront tenir compte des consignes
de la revue pour les auteurs : https://journals.openedition.org/anthropodev/523.
Œuvres citées
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entrepreneurs Béninois et leurs associations : Un capitalisme sous tutelle. Working
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CAPITALISM,
ENTREPRENEURS AND BUSINESS ASSOCIATIONS AT WORK:
NEW
ETHNOGRAPHIES OF PRIVATE SECTOR DYNAMICS IN AFRICA
Call for papers for a thematic issue
of the journal
‘Anthropology and Development’,To be
coordinated by
Thomas
Bierschenk and José María Muñoz, to be published
in 2021
This issue aims to explore ethnographically and
analytically the links between emergent (or not) capitalism, private sector
activities, entrepreneurs (in an economic sense) and their associations, the
state and international development agencies in Africa.
The recent revival of the concept of
capitalism in the social sciences has so far only had an uneven impact on
African studies, which in recent decades have been dominated by other terms,
e.g. “good governance”. In the background of this renewed interest in the
concept of capitalism are old questions about the conditions for African
countries to catch up economically. However, as far as Africa is concerned,
contributions that pursue a theoretical-conceptual interest under the central
concept of capitalism and at the same time treat this claim empirically have so
far remained rather rare.
The new interest of scholars in
capitalism as a framework for analysing economic development parallels the
evolution of practical development policy paradigms. In the last decades, development
policy has placed considerable emphasis on the reform of public institutions. More
recently, this emphasis has been supplemented by the explicit promotion of the
private sector. Private Sector Development (PSD) has become both a separate
field of development policy, loosely coordinated in the Donor Committee on
Enterprise Development (DCED), as well as a topos which has been taken up by
development-economic research. As a policy paradigm, PSD concerns not only the
promotion of small and medium enterprises, but also highly controversial
programmes such as Investment Climate Reform or Business Environment Reform (BER),
and especially the Doing Business (DB) initiative of the World Bank (2004). As
a result, many NGOs have been enrolled, reluctantly at times, into programmes
for the promotion of entrepreneurship and small-scale capitalism.
The Private Sector Development
paradigm, as well as the specific agendas associated with it, nevertheless
present a peculiar blind spot: how much private sector development have the
programmes actually brought about, what is the nature of the emergent
enterprises, and what position do the latter occupy in the societal set-up of
their respective countries? The private sector can be marginal or large,
indigenous or foreign-owned, inward-looking or extraverted externally-dependent
(“extraverted”), it can be dominated by large companies, or made up by a myriad
of small family businesses. Empirically, the answers to these questions have remained
remarkably nebulous. This is all the more surprising as the Doing Business agenda,
for example, has generated veritable competition, particularly among countries
in the Global South, leading to simplification and reduction of business
regulation. While there are lively
debates on the meaningfulness and the ideological foundations of this agenda,
there is noticeably less questioning of the kind of “business" that
purportedly has made its way from Singapore to Mauritius or Rwanda as a result
of DB-inspired reforms, and what this says about the changing (or not)
character of African societies.
The question of capitalism as posed
in the social sciences and the policy paradigm of private sector development
converge in readings that see Africa as the last frontier of capitalism. This perspective
is mainly represented in economic journalism; The Economist’s cover
"Africa Rising" (3.12.2011) has become emblematic of this position,
which was originally formulated by consultants such as McKinsey who spoke of
"lions on the move" by analogy to catching-up capitalist development
in Asia (Roxburgh et al, 2010). However, the proponents of the Africa Rising
thesis are less interested in the economic development potential of African
economies in a broader sense. They rather pursue an investor and market
research perspective: in connection with the postulated rise of African ‘middle
classes’, Africa is presented as a continent where (foreign) investors can make
good money.
In this context, in recent years
individual African entrepreneurs have been celebrated as the alleged
avant-garde of economic and social development in Africa. One of the most
prominent among them, Tony Elumelu, recently proclaimed at his annual
Entrepreneurship Forum that "Africapitalism is taking centre-stage";
In fact, the existence of entrepreneurs
or companies having private property rights can be seen as an essential, if not
sufficient, feature of capitalism. A ‘Schumpeterian’ concept of
entrepreneurship has long framed approaches to the trajectories of business
organizations and business people in the African continent. Concerns about the
need for entrepreneurs in Africa sound today as topical as they were in the
late 1980s, when in one of the signal policy documents after a decade of
structural adjustment, the World Bank (1989) highlighted the key role of
entrepreneurs in the continent’s economic future. Despite significant changes
in policy approaches and economic trends over the past three decades, calls to
foster entrepreneurial energies on the continent have persisted, now tinged
with a new sense of urgency in the light of massive youth unemployment (Dolan
and Rajak 2016). The heroic figure of the entrepreneur also casts its shadow on
much academic research that addresses the prospects of capitalism in Africa
(Amaeshi and Idemudia 2015; Akinyoade, Dietz and Uche 2017). Often, this work
tends to favour what is posited as productive, industrial, innovative, and
national, at the expense of what is characterized as rentier, commercial,
routine, and foreign. Despite its substantial effects on policy making and
popular representations, the notion of entrepreneurship can become a
straightjacket preventing justice being done to the complexities that shape the
trajectories of firms and business people. The risk is to settle for an
impoverished account of the “legacies, logics, and logistics” (Guyer 2016) that
shape business activities. Accordingly, we invite papers that try to come to
terms with the full complexity of business trajectories as contextualised in
specific times and places.
The days when there was a need to
‘desacralize’ business organizations, so as to treat them as ordinary objects
of anthropological study (Althabé 1991), are long gone. Large firms have become
an established locus of ethnographic attention in a broad range of settings
(Welker, Partridge and Hardin 2011). This may be less the case for the African
continent, where studies of business trajectories and practices have been
largely restricted to sectors with an important presence of multinational
actors, such as the extractive industries (including two noteworthy recent
monographs: Rajak 2011 and Rubbers 2013). This state of affairs results from a
variety of factors, among which the comparatively small numbers of incorporated
firms in most African countries is perhaps the most obvious. Indeed, the
informalisation of economic activities has been a running thread of Africanist
anthropologies, which has been interpreted both in terms of longue-durée
historicity and as outcome of global economic trends and policy paradigms from the
1970s to the present. In this regard, it is hardly surprising that the
anthropological corpus on business networks and actors is richer than that on
firms, as the work represented in contributions aimed at sketching the
state-of-the-art in the early 1990s shows (Labazée 1991; Copans 1991; see also
the weight of anthropologists among the contributors to an important
inter-disciplinary synthesis of that period: Ellis and Fauré 1995). This
intellectual lineage lives on in recent ethnographic research, including two
monographs that are exemplary for the effort they deploy in reconstructing the
things, people, networks and companies that make pharmaceuticals in Nigeria
(Peterson 2014) and pagnes in Togo
(Sylvanus 2016) what they are.
An empirical focus on entrepreneurs
highlights the class question in a broader sense. The editors of this issue are
not only interested in the empirical study of entrepreneurs, but also in
contributions which address the question whether they represent a class ‘for
themselves’ that has an awareness of its own political-economic interests – a
question which could be operationalized through an empirical focus on business
associations. It connects with long-standing debates about the emergence of an indigenous
class of capitalists in Africa and the related issues, such as whether this
class has an awareness of its own existence and actively pursues its interests.
In the 1980s, these issues featured centrally in the ‘Kenya debate’ on the
conditions for economic development and the class position of African
entrepreneurs (Leys 1975, Beckmann 1980, Kitching 1985). Borrowing from established
Marxist terminology, we are not just asking how much “class is in the
entrepreneurs”, but also whether this class is, at least in some places,
becoming a “class of its own” (Lukács 1923/1972; Badou and Bierschenk
2019)
We invite papers that touch on the
following thematic axes, possibly including considerations of the particular
methodological challenges of ethnographic research in these fields:
a)
Business-state relations and business associations have been a long
concern of social science research in Africa. We are interested in analyses
that take stock of these and later contributions (MacGaffey 1987; Boone 1992;
Forrest 1994; Munoz 2018) and move beyond crude readings about business
dominance or impotence. While the thesis that business enjoys the standing of a
privileged interest in capitalist societies remains a most sensible point of
departure, it is also obvious that business influence varies according to the
context. Both what political scientists of a Marxist persuasion used to call
the structural power of business (as investor, taxpayer, and employer) as well
as its instrumental influence need to be documented rather than taken for
granted. Business options for political action (ranging from running for
political office, financing political parties and creating agenda-setting
think-tanks or research institutes, to investing in business associations,
cultivating personal ties with government officials, and, more directly, buying
influence) should be investigated by empirical research. As Hibou (2006) showed
for the case of Tunisia under Ben Ali, analyses of business-state relations
often are led astray by stylized accounts of business actors who either
minimize visibility to protect themselves from political interference, or are
forced into supporting the regime to avoid harassment or exclusion.
b) The expansion of private sector development (PSD) as an
area of development assistance and government policy also warrants new
research. The promotion of entrepreneurship through training and technical and
financial support has been the focus of ethnographic contributions (Elyachar
2005) but such programmes represent only a small component of a much larger
field of intervention. Efforts by multilateral and bilateral donors to advocate
for ‘business environment reforms’, or to restructure specific economic sectors
— often through the creation or strengthening of business associations — or
the evolving arrangements for periodic government-private sector forums provide
opportunities for innovative ethnographic research.
c) Attention to the built
environment, technology, repertoire and performance can help shed light on
shifting business practices in
various areas, including the management of labour, relationships with suppliers
and customers, financing, accounting, and taxation. Despite the reliance on
bureaucratic form in the operations of large segments of the private sector in
most countries in Africa, much remains to be learned about the everyday work of
these business bureaucracies. As the reference to the notion of “at work” in
the title of this call indicates, of particular interest are the tensions
between norms and practices that have been explored in research on the state in
Africa (Bierschenk and Olivier de Sardan 2014).
d) Business trajectories and cycles are another important area of
interest that connects with longstanding concerns around, for example, social
pressures against private accumulation or the mechanisms to enforce legal and
contractual obligations. The recent anthropological and political
science-interest on ‘success’ (Rowlands 1994; Banegas and Warnier 2001; Newell
2012) offers promising new directions of research on business identities,
including their class dimensions. More generally, we invite contributions that
explore the beginnings and ends of business ventures, specialisation and
diversification, expansion and decline, success and failure under the
constantly changing technological, legal and political conditions that prevail
in diverse African settings.
Calendar:
Proposals for articles should be submitted by 2
January 2020 to Thomas Bierschenk (biersche@uni-mainz.de) and José
Maria Muñoz (jmunoz@ed.ac.uk), as well as to the editorial staff of the journal
(revue@apad-association.org).
Proposals for articles, of approximately 5,000
characters (including spaces), may be written in French or English.
The proposal must include:
a title;
a summary detailing the research theme and issue, as
well as the materials on which the article is based;
bibliographic references (not counted in the 5,000
character limit).
Each proposal must include the full names of the
authors, their professional status and institutional affiliation, as well as
their e-mail address.
16 January 2020: Authors will be notified of the
contributions pre-selected by the coordinators and the journal’s editorial
board.
1 May 2020 : Submission of the first versions of the
articles, in French or English. The articles must take into account the
instructions of the journal for authors (cf.
https://journals.openedition.org/anthropodev/523).
Althabé, G.
1991. ‘Désacraliser l’entreprise: un terrain ethnologique banal. Entretien par
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Badou, Agnès O., and Thomas Bierschenk. 2019. Les entrepreneurs Béninois et
leurs associations : Un capitalisme sous tutelle. Working Papers of the Department of Anthropology and
African Studies of the Johannes Gutenberg University Mainz), No. 186. Mainz: Institut für Ethnologie und Afrikastudien
(https://www.ifeas.uni-mainz.de/files/2019/07/AP-186.pdf).
Banegas,
R and J.-P. Warnier. 2001. ‘Nouvelles figures de la réussite
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[1] www.tonyelumelufoundation.org/, visité le 9/2019
On May 2018 the 23th, Pr Tania Li (University of Toronto) gave a conference in Montpellier, on “the Will to Improve: Governmentality, Development, and the Practice of Politics”. Organised by APAD and UMR GRED (IRD/Paul Valery University), this conference was an opportunity to come back on Tania Li’s major book, ten years after its publication. https://www.youtube.com/watch?v=VzFB3HxJ3P8
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